Navires de la Guerre Froide

Tous les types de bâtiments de l'OTAN, du Pacte de Varsovie et non-alignés 1947-1990

Description de l'encyclopédie

Suite logique à l'ancien Navis2GM, qui s'arrêtait en 1945, navisgf.com ouvre sur une période historique radicalement nouvelle dans l'histoire des relations internationales: C'est l'histoire de la seconde moitié du XXe siècle, celle qui nous est la plus proche... Le monde vivait sous la menace constante - malgré les dégels et dialogues permanents - d'un affrontement global est-ouest jusqu'à la fin des années 80, avec les derniers jours de l'empire soviétique, la chute du mur, et la recomposition de l'Europe de l'est et de l'Asie. En 1990, on peut le dire, cette grande période de "guerre froide" (conflits interposés, course aux armements et influences réciproques sur le monde post-colonial) à tenu en haleine l'humanité sous la menace du pire scénario: Celui de l'apocalypse nucléaire, ce point de rupture qui fait qu'une minorité atteint la puissance militaire ultime, celle d'anéantir toute vie. Le non-sens d'une action qui n'aurait en conséquence que des vaincus. C'est l'essence de la dissuasion: L'utiliser est un échec.


Marine Soviétique, dont l'ambition durant 40 ans a été de dominer l'US Navy

Spécificités de la guerre froide sur les mers et océans

Cette époque vit les deux superpuissances sorties victorieuses de la seconde guerre mondiale jouer une partie d'échec mémorable, qui fera encore couler beaucoup d'encre et tourner beaucoup de pellicule: Les deux représentants d'un ordre économique fondamentalement opposé, deux visions du monde, veillant à ce qu'aucun pays dans leur sphère d'influence ne leur échappe, et tentant d'en rallier d'autres. Pour ce faire ils maintenaient une considérable industrie d'armement. Il semble extraordinaire de dire que - eu égard à l'énormité du budget militaire des USA - ce pays a été depuis 1941 jusqu'à nos jours en "économie de guerre". Ceci était vrai également pour l'URSS dont l'armée phagocytait une immense partie de ses ressources pour rester à la hauteur. La disparition de la menace soviétique n'a pour autant pas diminué spectaculairement les dépenses américaines en la matière: "L'oncle Sam" possède en son sein en effet un lobby des plus puissant, arguant de ses aptitudes à la haute technologie et de ses exportations pour faire valoir ses intérêts, et la Maison-Blanche et le pentagone restent plus que jamais en étroite symbiose depuis le 11 septembre...

Sous-marin Soviétique stratégique de type DELTA I (crédits : wikipedia)

Au sein de cette partie d'échec planétaire, les marines des deux blocs ont étés des instruments de choix: En effet, à l'heure de la dissuasion nucléaire, c'est le sous-marin lanceur d'engins qui reste prédominant comme moyen d'action, du fait de sa furtivité et de sa capacité d'intervention mondiale. Quand au porte-avions, nouveau roi des mers, il a été adopté comme le pivot des flottes classiques de surface, qui lui ont été entièrement dédiées. Base aérienne mobile, elle est le centre de toute force d'intervention. Les deux grands se sont de plus dotés en la matière de moyens amphibies extraordinaires, qui auraient fait rêver en leur temps des amiraux comme Nimitz ou Spruance...
USS Long Beach
1960 est une première date charnière au sein de cette période, car c'est l'année de la crise des fusées de cuba, moment où le monde sembla vaciller sur ses bases, et celle de l'arrivée au sein des flottes de nombreuses avancées technologiques de première importance: Nucléaire, missile...

1990 est la seconde date charnière puisque à ce moment les flottes mondiales avaient atteint un pic de tonnage probablement indépassable: La marine soviétique notamment, fut les années suivantes, amputée des trois quart de sa flotte pour des raisons budgétaires et de mauvais entretien, tandis que l'US Navy désarmera à tour de bras, tout comme les différentes marines de l'OTAN. C'est donc cette histoire que Naval-encyclopedia se propose de raconter ici...

Voici quelques liens classés par intérêt pour le sujet traité. certains sont admirables et incontournables, d'autres sont intéressants sur des aspects particuliers, tous ont le mérite d'y figurer. Si vous avez conçu des pages sur les évènements, des personnes ou les marines, ou même un bâtiment en particulier de cette époque, n'hésitez pas à me soumettre le lien. Liste évolutive réactualisée tous les trois mois.

Le plan du site

Acteurs de la guerre froide

La longue période qui sépare 1945 de 1990 verra nombre de personnalités de premier plan aux affaires navales des deux camps, mais aussi les politiques qui ont eu une influence directe sur la politique navale, les personnages-clés des événements, etc. Liste non-limitative en développement. Dans cette page figurent les personnages incontournables de la guerre froide, tout au moins ceux qui ont eu une influence sur la stratégie ou la tactique navale, les décisions d'intervention, la conduite des opérations, mais aussi les ministres ou secrétaires d'états, espions, personnalités du monde maritime. Cette page évoluera de manière permanente au gré des apports. N'hésitez-pas à faire des suggestions !

OTAN - Organisation du Traité de l'Atlantique Nord

Ce fameux acronyme à regroupé en son sein les forces navales les plus puissantes du monde, celles des grandes puissances traditionnelles de l'ouest, faisant front au pacte de Varsovie. Le fameux traité fut signé à Washington en 1949, réunissant déjà les puissances occupantes de l'Allemagne, à savoir, USA, Grande-Bretagne et France, et s'y ajoutèrent naturellement le Canada, puis la Hollande, la Belgique et le Luxembourg. Le traité fut proposé en 1949 au Danemark, au Portugal, à l'Italie, à la Norvège et à l'Islande. Il s'agissait d'un traité d'assistance et de défense mutuelle visant à tenir en respect le bloc communiste.

Les industries d'armement et les moyens déployés par les Nations signataires au traité devaient êtres en conformité avec les spécifications édictées par le conseil de l'OTAN, dictées par des impératifs militaires globaux. Cette organisation n'a pas disparu avec la chute de l'URSS, mais reste efficace en tant qu'organisation de coordination des moyens militaires Européens, (toujours sous tutelle Américaine), et fait bon an mal an figure de plus en plus de bras armé de l'ONU, mais aussi barrage à une véritable politique proprement Européenne de défense. Voici les pays concernés, qui seront traités sur deux dates-charnières, 1960 et 1990:
  • Etats-Unis (US Navy)
  • Grande-Bretagne (Royal Navy)
  • France (Marine Nationale)
  • Canada (RCN)
  • Italie (Regia marina)
  • Espagne (Armada)
  • Hollande (Nederlandsmarine)
  • RFA (Bundesmarine)
  • Portugal
  • Belgique
  • Norvège
  • Islande
  • Danemark

Pacte de Varsovie

Lorsque l'OTAN fut signé en 1949 Staline prit acte, mais sasn pour autant décider de monter une organisation similaire. Après sa mort et l'avènement de Nikita Kroustchev, l'Allemagne de l'ouest ratifia à son tour de traité, "en voie de remilitarisation". Mis devant le fait accompli, le chef du Kremlin s'efforça dès lors de mettre en place une organisation du même type. Le pacte de Varsovie fut signé le 14 mai 1955 entre les pays du bloc communiste d'Europe (la Chine en était exclue). Outre le "grand Frère", l'URSS, ce traité rassemblait la Pologne, la Tchécoslovaquie, la Hongrie, la Bulgarie, l'Albanie, la Roumanie, et la RDA. Ce texte de 11 articles stipulait que l'adhésion de nouveaux membres ne pouvaient se faire qu'avec le consentement des 9 autres. La Yougoslavie de l'époque, sous l'égide de Tito, restait neutre.

Le commandement des forces de ces pays passaient du coup dans une structure unique, coiffée par le général en chef Koniev à l'époque. Les forces navales de ces pays passaient du même coup sous commandement unique (soviétique), et les politiques navales réglées en fonction des besoins de la communauté. La RDA par exemple, fut spécialisée rapidement dans la guerre des mines. Chaque pays envoyait un représentant à l'assemblée ordinaire annuelle. Ce pacte consacrait la mainmise des soviétiques sur l'Europe de l'est: Lorsque la Hongrie tenta de devenir neutre en 1956, l'insurrection fut écrasée et le gouvernement renversé et remplacé en deux semaines.

Plus tard, elle fit de même lors du printemps de Prague en 1968. Cette intransigeance provoqua également le retrait de l'Albanie, qui ne fut pas inquiétée du fait de son enclavement géographique au milieu de nations neutres. En 1968, l'Albanie, donc, s'en retirera, et la Chine, présente depuis le début sous la forme d'un simple observateur, s'en retirera aussi en 1962. En 1985, on décida de le reconduire pour une période de 20 ans. Il prit fin en 1991 suite à la chute du mur et à la dissolution de la sphère soviétique, officialisée en juin à Prague. Par la suite, en 1999, trois pays de cette ancienne alliance entrèrent au sein de l'OTAN: La Pologne, la Hongrie, et la République Tchèque. La Pologne envoya des troupes lors de l'invasion de l'Irak et soutint au sein de l'OTAN la position des pays rangés aux côtés des USA.
  • URSS
  • RDA
  • Pologne
  • Roumanie
  • Bulgarie
  • Albanie
Non-alignés mais dans la sphère communiste
  • Chine
  • Yougoslavie
  • Egypte

Événements

L'un des épisodes de la guerre des Malouines: Le torpillage du Belgrano (image Wiki DP)

La guerre froide fut fertile en rebondissements, mais il y eut une constante qui allait léguer son nom à cette période: Jamais les deux grands ne s'affronteront directement. Le face à face aurait pu dégénérer dès le blocus de Berlin par les soviétique en 1945. La guerre de Corée fut de son côté le premier de ces conflits qui ont pour politique, du côté américain de "l'endiguement" face à la séduction qu'opère sur de nombreux pays qui accèdent à l'indépendance le modèle communiste, censé représenter l'ennemi de l'impérialisme incarné par les anciens colonisateurs.

Après la Corée, le Viet-nâm fut cet autre conflit où l'US Navy joua un rôle important. La crise de Cuba fut un autre événement majeur, qui aurait pu de fait dégénérer en guerre nucléaire. Ce furent aussi des interventions dans le "pré carré" des deux blocs, avec participation ou non des flottes, et une rivalité technologique, une course aux armements et aux tactiques, guerre silencieuse entre sous-marins sur fond d'espionnage. Qui sait si (pour le bonheur de romanciers comme Tom Clancy) de formidables batailles navales furent évitées de justesse dans le silence feutré des cabinets diplomatiques? Ce sont aussi les conflits de décolonisation des anciennes puissances coloniales comme la France (Indochine et Algérie), ou des conflits territoriaux pour la Grande-Bretagne (Malouines) qui furent de quelques enseignements pour les états-majors sur le plan naval.
  • 1945-47: Tension entre les deux grands vainqueurs, l'après Postdam.
  • 1945-54: La guerre d'indochine
  • 1947-54: La guerre de Corée
  • 1956: L'intervention à Suez
  • 1960: La crise des fusées de Cuba.
  • 1960: La flotte soviétique et américaine: Moyens comparés et politique navale.
  • 1965-73: La guerre de Viet-nâm
  • 1963-69: La guerre d'Algérie
  • 1947-90: Les conflits au moyen-Orient (Israel et ses voisins)
  • 1980-82: La guerre des malouines.
  • 1990: La guerre du golfe.
  • 1990: L'après-guerre-froide et l'époque actuelle.

Flottes

Les forces navales des deux grands (USA, URSS) sont évidemment les plus étudiées dans ce contexte de guerre froide. Mais il faut signaler que l'une et l'autre existaient au sein de grandes organisations militaires, l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) regroupant les pays d'Europe de l'ouest, future Union Européenne ainsi que quelques pays à la périphérie comme la Turquie, sous la houlette des USA, et d'autre part le Pacte de Varsovie, groupant sous le contrôle étroit du "grand frère" à l'époque de Staline, les républiques "populaires" ou "démocratiques" de l'Europe de l'est. Ces forces restaient très inégales: En effet, le poids combiné de la flotte Américaine, Britannique, Française, Italienne, Ouest-Allemande, Hollandaise... dépassait de loin celle du pacte de Varsovie dont bon nombre de nations avaient une fcade maritime faible ou des moyens réduits.

Il y avait également celles de pays non liés par ces traités et pourtant dans l'orbite plus ou moins appuyée de l'un ou de l'autre, à savoir, en asie, le Japon avec les USA, et la Chine avec l'URSS. Il y avait également celle des nombreux "non-alignés" issus de la décolonisation, au budget modeste, au encore celle des pays qui bénéficiaient depuis toujours d'une politique neutre, comme ceux d'Amérique du sud. Il n'en reste pas moins que par leurs exportations, les soviétiques comme les Américains fournissant à différents "non-alignés" en faisaient aux yeux des experts, des "sympathisants" pour un camp ou l'autre. Tel était le cas par exemple de Cuba, qui se rapprocha progressivement de l'URSS au sortir de la dictature de Batista, et de l'Egypte, qui par son matériel semblait plus liée au pacte de Varsovie, qui eut une position plus clairement communiste en 1956 en nationalisant le canal de Suez, mais qui par sa politique soufflait le chaud et le froid...

OTAN Pacte de varsovie Reste du Monde
Belgique Albanie Suède
Armada Bulgarie Norvège
France 1960/1990 Hongrie Finlande
Royal Navy /1960 /1990 Pologne  
Hollande /1960 /1990 RDA Turquie
M. Italiana /1960 /1990 Roumanie Yougoslavie
Irlande URSS 1960/1990 Chine
Islande   Egypte
Bundesmarine /1960 /1990   Thailande
US Navy   Bresil
    Argentine
    Chili
     

Pays non-alignés

En 1960, l'ONU comptait 99 Etats souverains (51 à son origine à la conférence de San Francisco en 1944), et cette annnée signa un record avec l'arrivée de 17 nouveaux états, Africains nouvellement indépendants pour l'essentiel. Dans ce lot, il est difficile de pouvoir systématiquement ranger ces pays par sympathie envers un camp ou l'autre, et de fait, on se doit de faire appel à ce que recouvre l'expression "pays non-alignés".

Au cours des années 50, un grand nombre de pays arrivent à l'indépendance post-coloniale et le mouvement se poursuit. De ce fait, le visage diplomatique du monde change et devant à la fois le refus de la soumission coloniale, certains leaders de ces pays plaident également pour une indépendance idéologique, ou la liberté de choisir leur modèle de développement. C'est une époque ou naissent les concepts de "pays en voie de développement" et de "tiers monde". Les initiateurs de ce mouvement furent Tito, leader de la Yougoslavie depuis 1945 et séparé du bloc soviétique par son attitude jugée trop indépendante, Nasser, leader de l'Egypte, qui osa nationaliser le canal de Suez cher aux anciennes puissances coloniales, la France et la Grande-Bretagne, de même que Nehru, le dirigeant à poigne de l'Inde, Sukarno d'Indonésie, U Nu de Birmanie, et Hailé Sélassié d'Ethiopie.

Une réunion fondatrice eut lieu sur l'île Indonésienne de Brioni dès 1956 et des conférences se suivirent dans les pays concernés. Cependant certains étant encore majoritairement sympathisant des thèses communistes, parce qu'anti-impérialistes, des dissensions provoquèrent la fin de ce mouvement politique dans les années 70. Tous ces pays ont développé des moyens navals, souvent modestes, mais parfois impressionnants, comme la marine Indienne ou la flotte Indonésienne. Voici donc les différentes marines de ces pays "non-alignés", ou simplement hors de l'OTAN ou du Pacte de Varsovie (majoritaires au sein de l'ONU - et n'oublions pas le retrait provisoire de la France de l'OTAN par De Gaulle...):

Amérique:

  • Bélize
  • Bolivie
  • Brésil (observateur)
  • Caraïbes (Jamaïque, Barbades, St Kitts, St Lucie, St Vincent, Trinidad-Tobago, Bahamas)
  • Chili
  • Colombie
  • Costa Rica (obs.)
  • Cuba
  • République Dominicaine (obs.)
  • Equateur (obs.)
  • El Salvador (obs.)
  • Grenade (obs.)
  • Guatemala
  • Haiti
  • Honduras
  • Mexique (obs.)
  • Nicaragua
  • Paraguay
  • Pérou
  • Surinam
  • Uruguay (obs.)
  • Venezuela

Asie:

  • Afghanistan
  • Bangladesh
  • Chine (obs.)
  • Cambodge
  • Indonésie
  • Inde
  • Iran
  • Malaisie
  • Pakistan
  • Philippines
  • Thailande
  • Vietnam

Afrique:

  • Afrique du Sud
  • Algérie
  • Angola
  • Bénin
  • Botswana
  • Burkina-Fasso
  • Cameroun
  • Cap-vert
  • Centrafrique
  • Comores
  • Côte d'Ivoire
  • Djibouti
  • Egypte
  • Erythrée
  • Ethiopie
  • Equateur
  • Gabon
  • Gambie
  • Ghana
  • Guinee
  • Guinée-Bissau
  • Kenya
  • Lesotho
  • Liberia
  • Libye
  • Madagascar
  • Mali
  • Malawi
  • Maroc
  • Mauritanie
  • Mozambique
  • Nambie
  • Niger
  • Ouganda
  • Rwanda
  • Sao Tome
  • Sénégal
  • Seychelles
  • Sierra Leone
  • Somalie
  • Soudan
  • Swaziland
  • Tanzanie
  • Tchad
  • Togo
  • Tunisie
  • Zambie
  • Zimbabwe

Europe:

  • Yougoslavie

Moyen-Orient:

  • Arabie Saoudite
  • Bahreïn
  • Émirats arabes unis
  • Irak
  • Iran
  • Jordanie
  • Koweït
  • Liban
  • Qatar
  • Turquie
  • Syrie
  • Yémen

Abbréviations

Répertoire des abbréviations à l'usage des fiches:
  • AA: Anti-Aérien
  • AN: Anti-Navire
  • AT: Anti-Torpilleurs
  • ASM: Anti Sous-marin
  • SM: Sous-marin
  • AM: Anti-Missiles
  • DC(N): Deep Charges, grenade ASM (Nucléaires)
  • LC: Lance Charges, mortier (Anti Submersibles)
  • CG: Casier à Grenades (ASM)
  • CME: Contre-mesures Électroniques
  • CODOG: Combined Diesel or Gas (Turbines diesel/fioul)
  • LL: Lance-leurres
  • CME: Contre-mesures électroniques
  • DE: Destroyer d'Escorte
  • HT(Q)E: (Chaudière) Horizontale à Triple (Quadruple) Expansion
  • LM: Lance-missiles
  • PC: Pleine Charge
  • SPV: Sonar à profondeur variable
  • HT: Hors tout
  • TLT: Tube Lance-torpille
  • TJB: Tonneau de Jauge Brute (tonnage marine marchande)
  • CTR: Canon à tir rapide (AM, AA)
  • VLT: Vedette lance-torpilles
  • VTE: (Chaudière) Verticale à Triple Expansion
  • VQE: (Chaudière) Verticale à Quadruple Expansion
  • CDC: haland de Débarquement
  • chaud.: chaudière
  • pat.: patrouille, patrouilleur
  • t: tonnes
  • mis.: missile
  • mit.: mitrailleuse
  • mot.: moteur
  • elect.: électrique
  • ch.: charbon
  • maz.: mazout
  • cv.Chevaux (DIN)
  • SM: sous-marin
  • SNA: sous-marin nucléaire d'attaque
  • SA: sous-marin d'attaque (classique)
  • SNLE: sous-marin nucléaire lanceur d'engins
  • rad.: radar
  • son.: sonar
  • surf.: surface
  • lat.: latéraux
  • PA: Porte-avions
  • PL: Port en lourd (tonnes)
  • n: noeud marin (1.85 Km/h)

Ressources

Site très documenté sur la Royal Navy aujourd'hui.
Site officiel de l'US Navy
Site officiel de la Royal Navy
Site officiel de la marine Australienne
Site officiel de la marine Thailandaise
Site officiel de la "Royale"
Site incontournable pour les navires de la "Royale" depuis 1940.
Marine Italienne
Marine Bolivienne
Marine Espagnole
Marine Chilienne
Marine Grecque
Marine Polonaise